Il y a ces amoureux qui se serrent…
Il y a un chanteur sur scène et les accords de Foule Sentimentale sur la guitare de Michel -Yves Kochman
Il y a un chanteur sur scène et les accords de Foule Sentimentale sur la guitare de Michel -Yves Kochman
Souvent, je photographie un concert comme je regarde l’artiste. J’essaie de voir à travers. A travers les regards du public sur l’artiste, à travers l’image que l’artiste me renvoie.
Hier soir Vincent Delerm chantait à Montbrison devant le public du festival Poly’Sons. Après le spectacle, je lui ai parlé des photos que j’avais faites, de cet article que j’allais écrire sur son spectacle. Quelle idée insensée ais-je eue là… Comment écrire sur la musique, comment mettre des mots sur des sons, sur d’autres mots ? Comment les faire vivre à d’autres, ceux qui n’y étaient pas ?
Ils sont les deux frères du rap français, ce duo d’ovnis toulousains, musiciens de conservatoire avant d’affronter les scènes de clashs et autres battles. Ils ont remplis facilement la U Arena de Nanterre, obtenu deux victoires de la musiques pour « La vie rêvée », leur deuxième album. Seulement leur deuxième album.
Alex Beaupain était au Radiant pour présenter "Pas plus le jour que la nuit", son 6e album
Damien Saez venait hier au soir présenter à Lyon, Ni Dieu ni Maître, l’album qui clôture Le Manifeste, fresque sociale de quatre années de 2016 à 2019 présentée dans une « œuvre numérique » sur son site internet « Culture contre culture ». 39 chansons, politiques et poétiques dans lesquelles se lit la France des attentats aux gilets jaunes, de Johnny à Mandela, à Germaine et Manu.
Un show dynamique, chorégraphié et lumineux, ou pas une seconde n’est laissée au hasard.
Le poète du rap, Oxmo Puccino faisait étape à Lyon pour présenter les chansons de son nouvel album.
Mika jouait son Révélation Tour, présentant l’album « My Name is Michael Holbrook » devant un Zénith de Saint-Étienne complet.
Il est une génération d’artistes auteurs compositeurs français, biberonnés à la musique anglo-saxonne des années 60 et 70, qui, quand ils ont commencé à écrire leurs propres compositions, ont cherché à mettre des mots français, mais surtout des textes qui avaient un sens, sur la pop anglo saxonne qu’ils aimaient tant.